Jean Staune – BeBooda : formations en ligne https://bebooda.fr Formations, Alternatives Santé et Éveil Personnel Wed, 12 Feb 2020 11:57:25 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.3.16 LES CHOSES QUI SONT CACHÉES DERRIÈRE LES CHOSES https://bebooda.fr/les-choses-qui-sont-cachees-derriere-les-choses/ https://bebooda.fr/les-choses-qui-sont-cachees-derriere-les-choses/#respond Mon, 07 Jan 2019 00:17:32 +0000 http://jeanstaune.mybebooda.fr/?p=1618 Dans notre société, c’est la science, et non plus la religion ou la philosophie, qui détermine notre vision du monde. L’énorme progrès des connaissances, l’amélioration de nos conditions de vie, tout nous incite, consciemment ou pas, à recevoir son message. Or, comme nous l’avons dit, ce message a été associé à un désenchantement du monde. […]

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Dans notre société, c’est la science, et non plus la religion ou la philosophie, qui détermine notre vision du monde. L’énorme progrès des connaissances, l’amélioration de nos conditions de vie, tout nous incite, consciemment ou pas, à recevoir son message. Or, comme nous l’avons dit, ce message a été associé à un désenchantement du monde. Le philosophe Gilbert Hottois faisait déjà remarquer que l’homme antique avait, de par son contact avec la nature, le sens d’un certain mystère du monde qui s’est perdu de nos jours, où nous vivons entourés de télévisions, de machines à laver et autres artefacts. Développant ce thème, des scientifiques comme des philosophes ont affirmé que “faire de la science suppose qu’il n’y a pas de mystère dans l’Univers”.

Certes, en pratique, il y en a des mystères et il y en aura toujours. Mais en droit il n’y a rien qu’il ne soit impossible de découvrir. Il s’agit là d’un postulat de base ayant mené au développement de la science occidentale. Deux autres postulats lui furent associés : le déterminisme qui assimile l’Univers à une grande mécanique, et le réductionnisme, méthode d’analyse remontant à Descartes, et qui considère que le tout n’est rien d’autre que la somme des parties. Ainsi, la voiture est un ensemble de pièces, une pièce, un ensemble d’alliages, un alliage, un ensemble de molécules, une molécule, un ensemble d’atomes, etc… L’homme est donc un ensemble d’atomes et la nature, une somme de matières premières… Ces principes, très performants à court terme et qui facilitèrent bien des progrès, nous ont privé à long terme de toute vision globale du monde. Aujourd’hui l’homme se retrouve dans un univers vide de signification où il serait apparu et aurait évolué par hasard, où sa conscience serait sécrétée par le cerveau comme le foie secrète la bile, et où la réalité ultime se réduirait à des petits grains de matière.

Mais voici qu’il se passe quelque chose d’extraordinaire. Voici que de l’infiniment petit à l’infiniment grand, des sciences de la vie aux sciences de la matière, surgissent de nouveaux concepts – bien que rappelant parfois des idées anciennes. Ainsi, ces petites billes de matière qui devaient être le fondement de la réalité, se sont dématérialisées. La physique quantique nous apprend que les particules sont aussi des ondes, que leur nature est modifiée par l’observation (disparaît ainsi le dogme de la neutralité de l’observateur), que le déterminisme est battu en brèche, et qu’il existe au niveau microscopique un phénomène étrange, la “non séparabilité” : lorsque deux particules ont été en contact, elles restent reliées par un lien non énergétique. Alors que tout ce que nous connaissions jusqu’ici (objets, hommes, ondes radio….) était composé d’énergie (car la matière n’est rien d’autre qu’une quantité d’énergie comme le montre la célèbre formule d’Einstein E = MC2). Ainsi notre réalité n’est pas la seule, elle semble greffée sur un autre niveau de réalité.

Selon les derniers progrès de l’astrophysique, non seulement la théorie du Big Bang (récemment renforcée par les découvertes du satellite COBE) pose la question des origines de notre Univers, question qui ne se posait pas dans le modèle précédent – l’univers stationnaire de Laplace – mais on s’est aperçu que, parmi les milliards d’Univers qui peuvent être créés en faisant varier les constantes fondamentales qui déterminent ses caractéristiques, un seul (le nôtre !) était apte à accueillir la vie. Ce “réglage” fait dire à des astrophysiciens comme Freeman Dyson : “D’une façon ou d’une autre l’Univers savait que nous allions venir, ou Trinh Xuan Thuan : “La notion de création écartée avec dédain par Laplace et ses successeurs trouvait ainsi un support scientifique au moment où l’on s’y attendait le moins.”

Bien sûr, la Science ne démontre pas qu’il existe un dessein dans l’Univers, mais cela redevient une hypothèse parmi d’autres. Le chemin parcouru depuis l’affirmation de Monod : “L’Univers n’était pas gros de la vie ni la Terre de l’homme”, est immense.

Un nombre sans cesse croissant de biologistes pensent que la sélection naturelle et les mutations au hasard ne peuvent rendre compte de la complexité et de l’adaptabilité des êtres vivants ainsi que des faits paléontologiques. D’autres facteurs doivent donc être en action dans l’évolution. De plus, les extraordinaires progrès accomplis dans la compréhension du fonctionnement du cerveau n’ont nullement permis de mieux connaître la nature de la conscience, ni d’expliquer l’unicité de notre “soi”. Enfin, certaines expériences suggèrent que des mécanismes de perception pourraient exister indépendamment de tout support neuronal et les difficultés de réalisation de l’intelligence artificielle font penser à un certain nombre d’experts que l’intelligence humaine pourrait être d’une autre nature que celle des machines. Et les mathématiques, par le célèbre théorème de Gödel, démontrent que tout système d’axiomes contient une proposition indécidable, c’est-à-dire qu’aucun système logique fermé sur lui-même ne peut être cohérent, il y a forcément une ouverture, un “au-delà” dans tout système. Ainsi, en quelques décennies, une véritable révolution a balayé les grands domaines scientifiques.

L’une de ses conséquences fondamentales est d’infirmer le postulat qu’en droit il n’y a pas de mystères dans l’Univers. En effet, partout, derrière les concepts rationnels mis en place par la science classique, il existe des mystères qu’en droit, il n’est pas possible de percer. Après un tel progrès des connaissances, c’est la science elle-même qui, à l’opposé des espérances scientistes, non seulement démontre ses propres limites, mais de plus dessine les contours d’un autre niveau de réalité, de ces “choses qui sont cachées derrière les choses” comme le dit un des héros du Quai des Brumes de Marcel Carné.

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LA SCIENCE, L’INTUITION ET LES VALEURS https://bebooda.fr/la-science-lintuition-et-les-valeurs/ https://bebooda.fr/la-science-lintuition-et-les-valeurs/#respond Fri, 06 Jul 2018 14:00:26 +0000 http://jeanstaune.mybebooda.fr/?p=1623 Faisons le point. La Science actuelle est une science ouverte. Elle est ouverte sur un autre niveau de réalité dont l’existence est hautement probable, et qui, quel que soit le nom qu’on lui donne, surréel, réel voilé (d’Espagnat), univers primaire (David Bohm), se situe au-delà de la matière, de l’énergie et de tout ce que […]

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Faisons le point. La Science actuelle est une science ouverte. Elle est ouverte sur un autre niveau de réalité dont l’existence est hautement probable, et qui, quel que soit le nom qu’on lui donne, surréel, réel voilé (d’Espagnat), univers primaire (David Bohm), se situe au-delà de la matière, de l’énergie et de tout ce que nous pouvons appréhender par l’expérimentation scientifique.

Attention ! Cela ne signifie nullement qu’un sens existe à cet autre niveau de réalité : le chaos pourrait très bien y régner. Néanmoins l’hypothèse selon laquelle l’Univers possède une signification devient nettement plus probable que dans le cas où ce niveau n’existerait pas.

La Science ne peut aller plus loin. Cela ne nous aide guère dans notre recherche car aucune valeur ne peut être déduite d’une telle situation : ce serait faire du scientisme à l’envers que de baser une éthique sur le seul état de la science.

Il est donc temps de se rappeler ce que fut l’intuition fondamentale de toutes les cultures, à toutes les époques : il existe un autre niveau de réalité. Ce niveau est primordial par rapport au nôtre et la nature même de l’homme est, d’une façon ou d’une autre, reliée à ce niveau. Bien que très répandue, l’intuition de l’existence d’un Dieu personnel créateur n’est pas universelle, mais celle que l’homme a un rôle à jouer à l’intérieur d’un processus qui englobe son existence l’est.

Ainsi apparaît un espoir : celui d’assister au passage de valeurs proclamées ex-cathedra à des valeurs librement admises par tous et basées sur la probabilité que notre existence ait un sens. Cet espoir découle de la convergence d’un mouvement concernant l’ensemble des sciences et de la plus ancienne intuition de l’humanité.

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L’HOMME, UN GARÇON DE COURSE AU SERVICE DES ROBOTS https://bebooda.fr/lhomme-un-garcon-de-course-au-service-des-robots/ https://bebooda.fr/lhomme-un-garcon-de-course-au-service-des-robots/#respond Tue, 03 Jul 2018 05:19:02 +0000 http://jeanstaune.mybebooda.fr/?p=1613 On parle souvent des conditions de notre survie, mais pourquoi l’homme devrait-il survivre ? Au premier abord la réponse est évidente, mais il semble bien que nous nous fassions des illusions sur notre importance. Pourquoi respecter l’homme s’il n’est qu’un ensemble de molécules ? Si sa créativité, son intelligence ne sont que des calculs, certes […]

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On parle souvent des conditions de notre survie, mais pourquoi l’homme devrait-il survivre ? Au premier abord la réponse est évidente, mais il semble bien que nous nous fassions des illusions sur notre importance.

Pourquoi respecter l’homme s’il n’est qu’un ensemble de molécules ? Si sa créativité, son intelligence ne sont que des calculs, certes très complexes, effectués dans le gigantesque ordinateur qu’est son cerveau, demain des ordinateurs encore plus complexes (et qui eux ne dorment pas) rendront obsolète l’ensemble de ses performances intellectuelles, scientifiques, et même artistiques.

Non seulement des auteurs de science fiction, mais aussi des scientifiques de renom, (dont le biologiste Richard Dawkins ou l’informaticien Hans Moravec) affirment qu’après “l’ère biologique”, le monde connaîtra une “ère informatique” où la vie et l’intelligence seront représentées essentiellement par des machines se reproduisant elles-mêmes. Nous, nous ne serons plus que les garçons de course des robots du futur” (R. de Gopegui) ou leurs animaux de compagnie” (M. Minski). Un pareil avenir mérite-t-il tout le mal que se donnent les hommes de bonne volonté pour éviter la destruction généralisée ?

Cela nous amène à une considération fondamentale – généralement absente dans les débats des futurologues – : la question de notre survie est intimement liée au débat sur la nature de l’homme et sur la nature du monde qui l’entoure. Cette question se cristallise tout particulièrement dans le domaine de la bioéthique. Il est déjà possible de breveter un mammifère (une souris) et l’Institut Américain de la Santé vient de déposer une demande de brevet pour des centaines de gènes humains, sous le seul prétexte que cet Institut avait été le premier à les décoder ! Il n’y a pas de raison de s’arrêter là. Si, comme l’a dit P. Simon, “la vie est un matériau qui se gère”, aucune barrière solide ne se dressera face aux enjeux commerciaux et à l’envie de réaliser des “premières”.

Nous sommes directement concernés car nous retrouvons la question : au nom de quoi allons-nous nous interdire de modifier l’homme ? Des biologistes comme Jacques Testard, ou des juristes comme Bernard Edelman, dénoncent avec vigueur et brio les dangers des progrès nous rapprochant du “Meilleur des mondes”.

Mais si les arguments sont nombreux pour dénoncer les risques d’une telle dérive, il en existe très peu pour expliquer pourquoi il faut l’éviter. Le sénateur Cailhavet, lui, n’hésite pas, en affirmant “qu’on ne peut empêcher les savants d’effectuer des expériences, toutes les expériences, y compris celles qui semblent les plus aberrantes, voire les plus monstrueuses.” Cela revient à dire qu’il n’existe pas de règles éthiques qui puissent nous en empêcher.

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ÂME ES-TU LA ? https://bebooda.fr/ame-es-tu-la/ https://bebooda.fr/ame-es-tu-la/#respond Mon, 03 Apr 2017 17:47:56 +0000 http://jeanstaune.mybebooda.fr/?p=1628 En changeant notre conception du monde et en montrant que celui-ci n’est pas fermé sur lui-même, la physique quantique redonne de nouvelles perspectives aux conceptions non-matérialistes de la conscience. À l’inverse de toutes les conceptions traditionnelles pour lesquelles l’homme possédait une âme, la conscience, pour la grande majorité des chercheurs en neurosciences, n’est rien d’autre […]

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En changeant notre conception du monde et en montrant que celui-ci n’est pas fermé sur lui-même, la physique quantique redonne de nouvelles perspectives aux conceptions non-matérialistes de la conscience.

À l’inverse de toutes les conceptions traditionnelles pour lesquelles l’homme possédait une âme, la conscience, pour la grande majorité des chercheurs en neurosciences, n’est rien d’autre que le produit de l’activité neuronale. Selon la conception moderne, la conscience est « perchée » au sommet d’une échelle dont les barreaux inférieurs sont constitués par les particules élémentaires, suivies des atomes et des molécules, et les barreaux supérieurs par les neurones, les différentes zones cérébrales et le cerveau.

Mais la physique quantique va profondément bouleverser ce schéma. Elle nous montre que toutes ces particules élémentaires qui constituent la base de l’échelle sont en fait comparable à … un arc-en-ciel. Comme nous en avons tous fait l’expérience, un arc-en-ciel bouge quand nous nous déplaçons. Il serait absurde de parler de la position et la vitesse d’un arc-en-ciel, puisque celles-ci dépendent de notre propre position et de notre propre vitesse. Un des grands enseignements de la physique quantique c’est que c’est la même chose pour les caractéristiques de toutes les particules élémentaires, elles sont indéterminées en dehors de l’observation.

Cela nous amène à transformer notre échelle en un cercle ! La conscience contribue ainsi via l’observation à définir les propriétés des particules élémentaires… qui constituent les bases de la conscience. Comme le fait remarquer Bernard d’Espagnat (Institut de France), dès lors que la conscience contribue à définir les caractéristiques des fondements de la matière, il est paradoxal de considérer la conscience comme étant uniquement un épiphénomène issu de la matière.

Le deuxième apport de la physique quantique au domaine de la conscience concerne le libre-arbitre. Quand une particule élémentaire « répond » à une question, il y a un véritable « choix » qui semble s’effectuer. Cela a pu amener des scientifiques aussi éminents que Freeman Dyson (Institut des études avancées de Princeton) à dire que quelque chose qui ressemble à un choix semble se produire au niveau microphysique. Bien que cette opinion soit minoritaire, des mathématiciens comme Roger Penrose

(Université d’Oxford) ou des physiciens comme Henry Stapp (Université de Berkeley), pensent que la conscience repose fondamentalement sur des phénomènes d’ordre quantique, et que c’est pour cela que les êtres humains sont pourvus d’une véritable liberté de choix.

Depuis 3 siècles, l’un des principes clés de la science « classique » était la clôture du monde physique : tous les phénomènes qui se produisent autour de nous ont leurs causes dans notre monde. Cela semblait exclure à jamais la simple possibilité d’existence d’une âme contrôlant notre cerveau. Mais la physique quantique a ouvert une brèche dans ce principe en mettant en évidence un certain nombre de phénomènes, telle la non-localité (deux particules formant un ensemble unique: ce qui se produit pour l’une à des conséquences immédiates sur l’autre, quelle que soit la distance qui les sépare), qui échappent clairement au temps et à l’espace, et qui ne reposent ni sur l’énergie ni sur la matière. Cela contribue à rendre crédible l’intuition majeure de toutes les grandes religions, monothéistes ou non, pour lesquelles le monde ne se limite pas à ce que nous pouvons voir, mesurer, toucher et sentir et constitue le troisième apport de la physique quantique au domaine de la conscience. Le neurologue Sir John Eccles, prix Nobel de Médecine, a publié avec le physicien Friedrich Beck, à l’Académie des sciences américaine, une démonstration selon laquelle l’incertitude qui existe au niveau quantique sur la position des particules élémentaires permet d’envisager comment une entité immatérielle pourrait modifier certains processus du cerveau sans violer aucunement les lois de la (nouvelle) physique ! Si cela ne constitue pas une preuve de l’existence de l’âme, cela fait disparaître l’argument qui en interdisait l’existence.

Ainsi la physique quantique remet en question les schémas simplistes selon lesquels le cerveau secrète la conscience comme le foie secrète la bile, et il n’est plus possible de dire comme Jean-Pierre Changeux (Collège de France), « l’Homme n’a plus rien de l’esprit, il suffit d’être un Homme neuronal. »

Il y a quelques années un jeune et brillant physicien quantique perdit brutalement sa mère. À la sortie de la messe, il me dit, étant agnostique, avec une pointe de rage dans la voix, « Qu’est ce que la physique quantique peut nous dire sur la mort ? ». Je l’ai amené à répéter la question devant d’Espagnat qui répondit, « la physique quantique nous enseigne que cette réalité dans laquelle nous vivons, située dans le temps, l’espace, l’énergie et la matière n’est pas la réalité ultime, et que la réalité ultime, si elle existe, ne peut-être situé dans le monde des phénomènes. Cela rend non à priori absurde l’idée d’une possible survie après la mort. »

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